Dieu et mon devoir



"Dieu et mon droit". Cette maxime est la devise des 'maîtres du monde' représentés en l’occurrence par la Couronne d'Angleterre.
Seulement leur 'dieu' est Moloch' et leur droit est d'asservir l'humanité entière.

"Tu aimeras ton prochain comme toi-même" est l'axiome tant des Chrétiens que de la République.

"Dieu et le roi" fut l'étendard de la monarchie, défunte où Dieu, quoique ce fut Jésus n'était pas séparé du Dieu de Moïse.


Aujourd'hui, au soi-disant vingt et unième siècle, il est aisé de reconnaître la justesse de la prophétie de Dieu Lui-Même qui disait à Agar quand, enceinte d'Abraham, elle fut chassée par Sarah et renvoyée près d'elle par Dieu Qui lui disait: "je te donnerai une postérité si nombreuse qu'elle ne pourra être comptée et celle-ci se dressera contre tous de même que tous seront contre elle". Ismaël, les Arabes.




Je ne pourrai jamais aimer mon prochain comme moi-même car ce n'est pas moi que j'aime mais Dieu. Quelle naïveté de Jésus d'avoir voulu se croire supérieur à Hachem, et quelle orgueilleuse bétise de ceux qui le prennent pour ce qu'il n'est pas d'ajouter foi à des sottises ... éternelles.


Aujourd'hui, en Deux Mille Seize, après JC, au moment où l'humanité se pare de tatouages et court après des images virtuelles tandis que plus de la moitié est esclave en Asie et en Afrique, 3.5 milliards d'hommes qui ni plus ni moins que les imbéciles heureux d'occident donnent leurs enfants à Moloch quand ils ne font pas frire des foetus pour varier des nids d'hirondelles et des cervelles de singes, il est aisé de comprendre que, non seulement l'homme n'est pas sur la voie de s'améliorer mais que de chute en chute, seuls des corps survivent alors que les âmes qui les habitent pourrissent.

Pour l'occident, c'est le désir de pain et de jeux, désir bourgeois s'il en est qui a répandu son venin subrepticement mais encouragé par les élus de ces pauvres hères qui ont accéléré la marche, ces élus de la banque et du commerce protégés d'office comme les fourbisseurs de plaisir et de servile liberté.

Saddam, Qadaffi, Assad et les autres étaient des tyrans, oui, mais comme les Louis, ils allaient à la messe, au prêche où à la mosquée et, l'un dans l'autre, si les peuples n'étaient pas des plus heureux, ils n'étaient pas asservis de l'intérieur comme aujourd'hui. Il y avait une centaine de jours fériés par an et les serfs vivaient en famille et à la lumière du soleil et des étoiles en gardant leurs troupeaux, ce que ne peut pas dire un employé ou un cadre de la moindre entreprise actuelle qui fait ses cinquante heures au néon, ses vingt en embouteillages ou en métro, et le reste devant son écran personnel, sans même parler des millions de Chinois qui en font le triple.

Ah ! J'ai oublié Putin ... Eh bien, moins idiot que les autres, il a pris le meilleur de l'ancien et du nouveau régime, c'est le tyran de l'avenir.



nb: quand vous chercher sur Google le mot ogre, vous n'avez que des images virtuelles pour résultat, images 'bon enfant' qui ne font ni rire ni pleurer. Tout est devenu uniformément gris sur la " Terre des hommes" ...



HOMME ;;; LEVE TOI, REVOLTE TOI
contre toi-même, réveille toi, émerveille toi !!
Car le seul et véritable Moloch n'est pas la
statue du Bohemian Grove mais la société
elle-même, c'est à dire vous et moi, comme
je l'explique dans ce texte.







Car pour l'instant nous ne pouvons que chanter avec Obélix:


... Shavouah tov !!!

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